jeudi 21 juillet 2016

Les ombres de Kervadec, Eric Le Nabour

Note : *****


Présentation de l'éditeur, Presses de la Cité:


Avril 1913. Une jeune femme étrange est engagée comme domestique au château de Kervadec, en pays bigouden... Qui est-elle et que cache-t-elle ?
Lorsque Elise Jouvet entre au service de la comtesse de Kervadec, elle s'attire aussitôt l'animosité des domestiques. Secrète, ne révélant rien de son passé, dotée d'un don de guérisseuse, elle tisse des liens d'amitié avec sa maîtresse, une femme malade et fragile. Celle-ci est persuadée qu'une malédiction plane sur sa famille et, insidieusement, jette Elise dans les bras de son mari Lucien.
En 1914, celui-ci part à la guerre. La comtesse meurt en faisant d'Elise sa légataire. Dès lors, les haines se conjuguent pour faire de sa vie un enfer...

Un roman magistral et envoûtant qui entretient le mystère autour de deux femmes et qui plonge le lecteur dans les croyances profondes de la Bretagne.


L'auteur :


Né en 1960 à Caen, Eric Le Nabour a commencé à écrire dès l'enfance et publié son premier livre, Charles X, le dernier roi, à l'âge de dix-neuf ans.

Diplômé et passionné d'histoire, il est l'auteur d'une quarantaine d'ouvrages – romans, biographies et récits – ainsi que de nombreux articles pour des revues (Historia, Chroniques de l'Histoire, Le Spectacle du monde).

Chroniqueur au journal normand Liberté, il a également collaboré à l'émission « Les Voyageurs de l'Histoire » sur France 2 avec Alain Decaux et Jacques Martin.



Ma critique :

Moi qui voulait un livre respirant l'air iodé de la Bretagne, je suis quelque peu déçue. Les descriptions sont plates, à part quelques bruyères par-ci par là, des ajoncs et l'odeur des sardines, l'atmosphère est terne.

L'intrigue en elle-même peut être intéressante même si on reste dans des histoires à l'eau de rose mais bon un effort peut être fait entre Jane Eyre et Harlequin, il y a de la marge tout de même.

Très déçue ... je m'arrête là, je n'aime pas écrire de mauvaises critiques ..

Quelques citations relevées :

C'est ça qui me touche dans ce pays bigouden pourtant si replié sur lui-même, si peu accessible encore à ce qu'on appelle "le modernisme" : la foi simple, la droiture de ses habitants. Même démunis, ils demeurent dignes, ne se plaignent jamais et se tiennent droits face à la vie.
                                           
                           
Fiche technique :

Editeur: Presses de la Cité           Date d'édition : Mars 2009     348 pages



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